Pourquoi sécuriser le RRF ?
Il était une fois, un petit réseau de répéteurs francophones, comportant une vingtaine de points d'accès.
C'était le RRF il y a cinq ou six ans.
On y discutait facilement. Les utilisateurs étaient principalement les responsables de points d'accès (Sysops) qui découvraient le système et tentaient de les optimiser.
Très vite, le réseau s'est agrandi. Le nombre de points d'accès augmentant, le nombre des utilisateurs s'est trouvé décuplé.
Il fallait trouver une solution !
C'est là que sont apparus les premiers salons.
Ils étaient destinés principalement à expérimenter divers domaines. Il y avait un salon Satellites, un salon SSTV, qui ont permis pendant un temps de faire quelque essais.
Mais, les dénominations semblaient freiner leurs usages.
D'autre salons ont été créés, renommés pour aboutir à ceux que vous connaissez maintenant.
L'intérêt pour le RRF s'est développé dans toute la Francophonie.
Le nombre de points d'accès a continuellement augmenté, pour dépasser les 200 links, relais ou hotspots connectés simultanément sur le salon d'appel.
Le maximum, autour de 230, s'est produit durant les "années Covid".
En même temps, les perturbations diverses se sont multipliées. A un tel point que quelques Sysops ont décidé d'arrêter leur point d'accès, ou de les "parquer" sur un salon, ou bien encore de les mettre en local avec accès RRF uniquement sur demande.
Nombre d'utilisateurs également se sont plaints de la difficulté qu'ils éprouvaient à trafiquer sur le RRF.
Que fallait-il faire pour redonner à tous le plaisir de se retrouver sur le réseau ?